Zéro Sucre Ajouté

Je suis déçue, mais j'apprends de mes erreurs.

Nous avons reçu de la famille et j'ai fait quelques erreurs stratégiques :

- je n'avais plus de fruits et légumes en réserve (j'ai rarement été si pressée d'aller faire les courses...)

- j'ai voulu goûter du gâteau d'anniversaire (j'ai un peu abusé, c'était inutile et je n'en ai tiré aucun plaisir)

- mon mari a encore voulu me faire plaisir et m'a rapporté une pâtisserie dimanche midi (j'aurais dû la manger en deux fois)

J'ai la semaine pour rectifier le tir et reprendre de bonnes habitudes. Aussi étrange que cela puisse paraître, je me sens confiante.

Même si j'ai trébuché ce week-end, je suis davantage à l'écoute de mon corps et de ses sensations. Je découvre avec étonnement que le sucré ne m'apporte pas autant de plaisir que je pensais et que mon ventre a vraiment du mal à gérer les excès (ça, je le savais, mais il m'a l'air encore plus sensible qu'avant...).

Je poursuis mon chemin en respectant mes objectifs. Je n'ai pas touché une boîte de sucre depuis 12 jours.

Il y a eu quelques rares dérapages contrôlés : un demi pain aux raisins (apporté par ma collègue au travail) et un biscuit un soir, mais seulement un.

Je ressens toujours le besoin de terminer mon repas par quelque chose de sucré. Les fruits comblent cette envie.

Je continue de dîner léger, les ballonnements me font moins souffrir le soir.

Côté poids (je n'ai encore jamais abordé la question parce si je ne suis pas toujours amie amie avec mon corps, je n'ai objectivement pas vraiment de problème de poids), j'ai eu la bonne surprise de voir un chiffre que je n'avais pas vu depuis longtemps... et c'est bon pour le moral. J'ai conscience que je ne vais pas perdre beaucoup plus. Mon objectif sera de stabiliser.

Mon plus gros complexe reste mon tour de taille, mais je sens que je m'affine et cela me motive à continuer de limiter ma consommation du sucre ajouté.

Pour cette deuxième semaine, je ne rajoute pas de contraintes supplémentaires et continue sur ma lancée :

- pas de sucre dans mon thé 

- pas de sucre dans mes yaourts. D'ailleurs, je me demande bien avec quoi, je vais réussir à les avaler... peut-être avec des fruits ?

- pas de confiture sur mes tartines. Mon petit-déjeuner manque de saveurs, vous avez des idées ?

- résister aux goûters sucrés

Je suis en vacances mardi soir, c'est là que résister aux grignotages va devenir plus compliqué à gérer.

Mais j'ai envie de prendre le temps de cuisiner, de goûter des plats plus sains...

Le week-end n'est pas tout à fait fini, mais globalement, j'ai surmonté plusieurs obstacles de taille...

- le repas au village. Pas d'apéritif (je ne bois de l'alcool que très exceptionnellement, mais je n'ai même pas pris un jus de fruit) et je ne me suis même pas approchée des gâteaux apéritifs (quand je tombe dedans, je ne peux plus m'arrêter...). J'ai limité les quantités des entrées et plats (ce n'est pas trop difficile, je suis une petite mangeuse), mais j'ai accepté une part de gâteau au chocolat. Pas vraiment par envie, pas du tout par pulsion, mais plutôt parce que c'était une gentille attention que je n'ai pas su refuser. Mais en toute honnêteté, je n'ai pas envie de tout m'interdire... Mais je n'ai pas rééellement apprécié le dessert, je n'avais plus faim et il m'a fallu du temps pour digérer...

- le ravitaillement lors de la randonnée de ce matin. Il était tentant, plein de gourmandises sucrées. J'ai résisté. Bu de l'eau et préféré du salé.

Avec la chaleur et parce que le soir, je digère mal, mon dîner sera léger, radis, carottes à croquer et un fruit...

Je n'en reviens pas qu'une semaine soit déjà passée. Dans l'ensemble, sans réelle difficulté. J'ai l'impression de pouvoir garder le contrôle (j'aime cette sensation) alors que ces dernières semaines, je n'arrivais plus à m'arrêter et je passais mon temps à grignoter...

Le week-end n'a pas été aussi clean que je l'aurais souhaité, je me sens un peu lourde et gonflée, mais je suis satisfaite de cette première semaine.

La journée a été plus agréable que celle d'hier. Moins de stress, moins d'envies de sucré.

Les tentations se font/vont se faire plus nombreuses : une vente de gâteaux à la sortie de l'école ce soir, mon fils qui rapporte une grosse boîte de bonbons à la maison, un repas au village demain midi et les ravitaillements appétissants de la randonnée dimanche...

J'aimerais tellement traverser le week-end sans craquer. Pour le moment, je me sens forte. Pouvu que ça dure...

La journée a été particulièrement pénible  (pas mal de soucis au travail). 

Ce matin, très vite, j'ai eu du mal à garder mon calme.Une situation explosive, les nerfs à fleur de peau...  Il m'a fallu beaucoup d'efforts pour prendre sur moi. Je n'aime tellement pas sentir la colère monter.

J'aurais volontiers craqué pour du sucré, j'avais vraiment besoin de réconfort. Heureusement, je n'ai pas eu une minute à moi, je n'ai même pas trouvé le temps de boire un thé. 

A midi, j'étais affamée, mon thé du matin m'a manqué. 

Ce soir, après une longue et difficile réunion, je suis fière d'avoir résisté à l'appel du sucré et d'avoir dîné léger.

Aujourd'hui, j'ai souvent eu envie de grignoter, mais j'ai résisté.

Je n'ai pas craqué ce matin avant d'aller à la piscine, j'ai opté pour de la compote de pommes maison. Pas certaine que ce soit l'idéal, mais c'est sûrement préférable  (au moins psychologiquement !) à des biscuits. 

J'ai eu envie de sucré. Plusieurs fois dans la journée. Mais j'ai été bien occupée, alors cela n'a pas été trop difficile résister .

Toujours pas de féculents le soir. Mon ventre me dit merci...

J'ai tenu mes objectifs. 

Dans l'ensemble, je résiste assez facilement aux tentations. Au travail, même si j'ai souvent une fringale en fin de matinée, mon thé sans sucre suffit à tromper mon estomac. 

Tant que je suis occupée, je ne pense pas trop à manger.

Le moment le plus critique est sans conteste lorsque je rentre à la maison le soir. Mon déjeuner est loin et les biscuits à portée de main. Heureusement, nous dînons tôt.

J'appréhende un peu la journée de demain. J'ai plus de temps libre le mercredi et donc plus de risques de craquer. 

A cela s'ajoute une séance de natation en plein milieu de la journée . D'habitude, je prends une collation juste avant. Il va falloir que je trouve quelque chose de plus sain à grignoter avant d'aller nager. 

Première journée : réussie ! 

J'ai trouvé mon petit-déjeuner un peu fade. J'ai mangé moins de tartines que d'habitude et laissé presque tout mon thé. 

A 10h30, c'est avec plaisir que j'ai bu mon deuxième thé. Toujours sans sucre ajouté.

A midi, j'ai préféré supprimer le yaourt parce que vraiment, ça me paraît insurmontable d'avaler un yaourt sans sucre. J'ai remplacé par une compote maison (pas trop sucrée) de Belle-Maman. J'ai résisté aux biscuits qui me faisaient de l'oeil. 

A 17h30, j'avais faim. Le repas était encore loin, alors j'ai mangé une poire.

Jai dîné léger. J'aimerais vraiment éviter les féculents le soir. 

Si mon objectif n'est pas de perdre du poids, je rêve de retrouver un ventre plus plat. Le soir, j'ai beaucoup de mal à digérer...

Ca me trottait dans la tête depuis un petit moment... Aujourd'hui, j'ai décidé de sauter le pas.

Hier encore, je cherchais le bon moment pour commencer. Le temps de me débarrasser des fonds de placard et du frigo...

Finalement, j'ai choisi d'y aller par étapes.

Etape 1 :

- supprimer le sucre dans le thé (j'en bois environ 2 à 3 par jour)

- supprimer la confiture sur mes tartines (j'en mange tous les matins)

- supprimer le sucre dans le yaourt (1 à 2 par jour)

- arrêter les gâteaux industriels (je craque souvent pour quelques biscuits à la fin de mon déjeuner et en sortant du travail)